Linux et l’obsolescence programmée
Un habitant de la commune de Saint-Paul-de-Fourques m’a contacté récemment pour lui réinstaller un ordinateur à base de carte-mère Asus M2N-MX Rev 1.0, sur lequel son fils en fin connaisseur de Ubuntu s’était déjà essayé. Sans succès.
Et pour cause…
Mes tentatives d’installation des distributions Ubuntu 15.04 et Fedora 21 se sont toutes les deux soldées par une fin de non recevoir liée au module powernow-k8 et à à un problème de timer APIC. openSUSE s’est, elle, installée sans toutefois pouvoir démarrer, affichant le même message que ses consœurs. Fin de la séquence.
My only friend ???
Vendu avec un Windows XP, j’ai tenté en vain de le réinstaller, jusqu’à ce que, de guerre lasse, je finisse par tenter un Windows 7… avec succès. Bêtement, je pensais que Linux allait pouvoir « résister » aux problématiques d’obsolescence programmée. Il n’en fut rien. J’aurais sans doute dû essayer CentOS ou Debian ! Mais la fraîcheur très relative des paquets qui sont associés à ces deux excellentes distributions les rende difficilement compatibles avec une utilisation personnelle.