WordPress, l’usine à gaz
J’ai récemment voulu créer un nouveau site avec WordPress. Et puis, j’ai dû me rendre à l’évidence. Je n’ai pas le temps de réactualiser mes connaissances pour comprendre la logique de la création de thèmes et de l’utilisation d’extensions comme Elementor. Et, pour tout vous dire, ça me prend le chou.
Je me suis donc mis en quête d’un autre CMS disposant d’un squelette et je suis tombé sur GRAV. Ce générateur de contenu n’utilise pas de bases de données MySQL ou MariaDB. Il crée des fichiers stockés sur le disque. Il faudra d’ailleurs que je procède à quelques réglages au niveau d’Apache pour que j’optimise la vitesse de distribution des pages du site. Et, pour ne pas gâcher le plaisir, GRAV dispose de très nombreux plugins.
J’en ai plus que marre de toute cette complexité artificielle attachée à l’Open Source dont l’objet principal est finalement de payer des services autour du logiciel dit gratuit. WordPress est devenu un obésiciel comme les autres. Je n’avais pas particulièrement apprécié le passage au nouvel éditeur de blocs. Cette fois, la rupture est consommée.
J’avais commencé l’édition de sites par DotClear. Puis, j’avais prolongé par Joomla, Drupal pour échouer sur WordPress. Il est temps au bout de 14 ans de réfléchir à changer de crémerie.