Histoire d’un montage de machine raté à base de Core 2 Duo
Au début, tout partait d’un bon sentiment : je veux changer de machine et m’équiper d’un processeur plus puissant, un core 2 duo. Intention louable par excellence ! Quoique…
Première phase et première erreur : je choisis une carte-mère D945G… pour P4. Gloups !
Deuxième phase : je rachète une carte MSI 975X Platinum et là, c’est le drame. Le boîtier Antec que j’avais acquis auparavant ne dispose pas de connecteur P8. En fait, j’ai un connecteur ATX 24 et le connecteur d’alimentation de processeur P4 devrait permettre de démarrer. Ma carte dispose d’un autre connecteur 4 pin sur carte-mère. Je n’y comprends rien. Je parviens tant bien que mal à avoir le signal. J’accède au Bios. La machine se freeze. je pense que c’est la pâte thermique. Je redémonte. J’en ajoute. Je galère avec les nouveaux ventilos. Je peste. Le problème est le même. En fait, je n’en peux plus. Ma semaine de 6 jours m’a totalement épuisé et je manque totalement de discernement. Lundi sans doute, je rappellerai le Sav pour un retour.
Ce que j’aurais dû faire
Réceptionné par un personne tierce, je passe sous silence l’explosion du boîtier au niveau du transport qui m’a amené à le recoller de toute part. Vive la superglue !
Conscient de mes erreurs, je pense que j’aurais été avisé à consulter les machines pré-assemblées présentes sur le site Ldlc ou bien de lire attentivement cet excellent article sur le site TTHardware.
Au fond, aurais-je dû perdre un temps de plus en plus précieux à vouloir assembler par moi-même à tout prix ? Aurais-je dû jusqu’à acheter par internet ? Je crois que c’est d’ailleurs la dernière fois que je le fais pour ce type d’achat. N’ai-je pas fait une erreur à vouloir un Pc de bureau plutôt qu’un portable ? A vouloir faire des économies de bout de chandelle, cela finit par me coûter très cher. A la foire à tout de novembre de Saint Pierre des Fleurs, je vous le dis entre quatre yeux : y aura de la pièce neuve ! Monter une machine, eu égard à la complexité et la diversité des composants devient un métier à part entière. Il est clair que ce n’est plus le mien !
En fait, ma petite histoire s’apparente à celle de la bêtise ordinaire. Ce jour-là, la grenouille se voulait plus grosse que le bœuf !