Panne SSD
Samedi dernier, ma machine de travail sous Windows s’est « freezée » à plusieurs reprises sans que j’en comprenne la raison. Après avoir installé SpeedFan, j’ai vu que mon CPU – un Intel i5 – fonctionnait à 69°. J’ai donc cru « bêtement » à un problème de surchauffe. J’ai alors démonté mon ventilateur et remis de la pâte thermique. En tournant le ventilateur, j’ai endommagé les contacteurs du processeur au niveau de la carte-mère. Mauvaise pioche ! Je dus recommander une carte-mère.
Une technologie à durée de vie limitée
Après avoir réinstallé le disque SSD (Solid-State Drive) sur une autre machine, j’obtenais toujours le même résultat. J’ai alors cru à une mauvaise mise à jour ou à une erreur logicielle. J’ai alors essayé différentes versions de Windows pour arriver au même résultat. C’est en réinstallant un OS sur un disque traditionnel que je dus alors me rendre à l’évidence : le disque SSD avait fait son temps ! Ce qui m’a trompé dans l’affaire, c’est que les systèmes se sont installés et se lançaient sans aucune difficulté particulière.
Retour vers le futur ?
En repassant sur un disque classique, je me pose la question de savoir si je rachèterai un disque SSD pour la prise en charge du système d’exploitation et les programmes qui s’y exécutent. Le gain de temps à l’amorçage avec un disque SSD est considérable. Là où je démarrais en 6 secondes à peine, il m’en faut une bonne trentaine avec un disque classique ! Le SSD ne serait-il donc qu’un nouvel avatar de l’hyper-consumérisme de l’IT ?
En ce qui concerne mes data, j’ai toujours fait le choix d’un disque classique.