#SEO : faire le choix du nofollow
Il n’y aurait aucun risque à utiliser des liens des régies publicitaires AdSense ou Chikita, à la condition de les passer en nofollow, nous dit Matt Cutts. Google nous explique que des liens peuvent être pénalisants dans les cas suivant :
- achat ou vente de liens pour améliorer le classement PageRank,
- échange de liens excessif (???),
- liens vers des spammeurs (???) Web ou des sites sans rapport dans le but de manipuler PageRank,
- la conception de pages partenaires utilisées exclusivement à des fins de liaison transverse,
- utilisation de programmes ou services automatisés pour créer des liens vers votre site.
J’avais déjà eu l’occasion d’expliquer le danger de recourir à des articles sponsorisés. De nombreuses agences en ont hélas fait les frais ! Un de mes clients, qui vient de passer en 2e page des SERP sur une expression stratégique, l’aura appris à ses dépends !
L’Art poétique, selon Nicolas Boileau
Entendant parler de risques de pénalités pour des liens de mauvaise qualité, sans savoir ce que cela peut bien vouloir signifier réellement, j’ai, pour ma part, décidé de passer mes liens en nofollow. Je fais mien l’aphorisme de Nicolas Boileau, révélé en 1674 dans l’Art poétique :
« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement »
Or, je n’ai pas la sensation que les consignes faites par Google aux Webmasters soient toujours énoncées clairement, ni que l’éditeur sache vraiment où il va ! En attendant, Matt Cutts cause et nous fait causer. En soi, c’est déjà une vertu !