Ozone : le Wimax de la honte financé par les deniers publics
27 décembre 2017
Mon père vit dans le nord du département de la Vienne. Il ne peut pas avoir Internet par le réseau filaire. Et comme des milliers d’habitants de ce département, il a pu bénéficier d’une aide du département de la Vienne d’un montant de 300 euros TTC pour disposer d’un accès Wimax via la société Ozone, une filiale de la société Nomotech dirigée par Bruno Weinreich. Le département est aujourd’hui présidé par Bruno Belin.
De l’eau dans un câble RJ45
Mon père est tombé en panne d’Internet, une nouvelle fois mercredi de la semaine dernière. J’ai appelé le support jeudi après-midi, leur demandant d’intervenir au plus vite. Le lendemain matin, nous avons retrouvé le câble de connexion complètement grillé. J’ai alors refait le connecteur RJ45 pour le boîtier POE qui alimente l’antenne Wimax vendredi matin. Le samedi matin, il était à nouveau grillé. C’est en secouant le câble machinalement que j’ai compris ce qui s’était passé. De l’eau coulait du feuillard du câble RJ45. Vous avez bien entendu : de l’eau !!! Un grand bravo aux installateurs de pacotille de la société Ozone qui sont venus raccorder l’antenne en mode POE.
Une « cacalité » signée Ozone!
Récemment, il a subi une hausse du prix de son abonnement de 1,80 euros par mois pour améliorer la qualité du Wimax. Il n’a jamais réussi à avoir la téléphonie de manière régulière, l’obligeant à reprendre un abonnement chez Orange. Quant à la vidéo, le débit de 1.5 Mbits maximum ne lui permet de recevoir aucune image d’une chaîne de télévision du bouquet proposé par Ozone !
En mars, son village devrait disposer de la fibre, permettant la montée en débit et un retour à l’opérateur historique.
Internet / Bruno Belin, Ozone, Vienne, Wimax