Fin des commentaires
Le 15 décembre, j’avais pris la décision de fermer les commentaires. Depuis ce matin, les commentaires ne sont même plus affichés. Je ne vais pas jeter le bébé avec l’eau du bain : vos remarques m’auront aidé et permis de corriger des contenus parfois approximatifs tant sur la forme que sur le fond. Au bout de 15 ans de blogging et d’édition de sites, grâce aux bénéfices de l’âge, la main tremble moins et le propos est plus assuré. Cela ne veut pas dire qu’il ne m’arrive pas de raconter ici et là quelques carabistouilles !
Le fait de mettre un terme aux commentaires ne veut pas dire que je suis soudainement devenu autiste ! Certains propos haineux ou déplacés n’ont rien à faire dans un espace professionnel. Simplement, je vous demanderais, si vous voulez continuer à commenter mes (re)publications, de vous déporter gentiment sur d’autres espaces dédiés à cela, où vous aurez tout le loisir de vous défouler :
- sur ma timeline Twitter dédiée à l’Association des Pentesteurs en Colère,
- dans ma page Facebook,
- au niveau de ma page d’activités LinkedIn,
- pour les barbus en sandalettes qui pourront s’en donner à cœur joie, sur ma timeline Mastodon ou dans Diaspora.
Je mets là un terme à un long, très long processus de réflexion. Sachez tout de même que, dans les zéros sociaux réseaux sociaux, j’ai aujourd’hui la gâchette-à-bloquer un peu facile. A 56 ans, je n’ai pas spécialement envie de passer mon temps à échanger avec des abrutis patentés, manquant des règles élémentaires de savoir-vivre et de savoir-être. Je suis un très grand démocrate. J’ai toutefois une fâcheuse tendance à ne plus accepter de me faire marcher sur les arpions.