Une bonne année 2013 après une excellente année 2012 !
Je tenais à vous souhaiter à vous-même ainsi qu’à vos proches une bonne et heureuse année 2013. 2012 aura été une année marquée par l’emprise des grands acteurs de l’Internet dans nos vies numériques (1). C’est un changement considérable qui va exiger que nous adaptions notre communication au support de l’Internet. Le référencement (SEO), la veille, le community management ont un bel avenir devant eux. Les escrocs de tout poil aussi.
Pour ma part, j’ai pris un virage stratégique depuis septembre 2011 en publiant plus régulièrement dans l’espace de ce site de façon à me rendre plus visible. Depuis, je n’ai plus connu de « rupture » dans mon activité professionnelle contrairement à ce qu’il s’était passé au cours des trois dernières années. 2012 aura été un très bon cru sur le plan professionnel.
Audience 2012
Avec 486 635 visites et 2 223 636 pages vues, l’audience de ce site a connu un bond spectaculaire de 65% en visites et de près de 235% en pages vues. Je ne sais pas le sens qu’il faut y mettre précisément. Une forme de reconnaissance ?
Le trafic imputable à Google qui était de 12.27% en 2011 avec 116 173 pages vues est en 2012 de 5.16% avec 114 671 pages vues. Faut-il y voir, là, un des effets des filtres et des changements d’algorithme mis en œuvre au travers de Google Panda et Google Penguin ? En septembre 2012, le nombre de requêtes effectuées à partir du moteur de recherche Google a chuté de 4%. Google n’est-il pas tout simplement en train de se tirer une balle dans le pied ?
Très confidentiels, les accès via Twitter sont passés de 619 à 3227 pages vues. L’accès via Facebook reste extrêmement marginal, passant de 441 à 1147 pages vues. Forte progression en revanche pour Scoop.it qui dépasse Facebook, passant de 439 à 1982 pages vues. Le paradoxe à passer son temps dans les réseaux sociaux, c’est de ne plus être visible sur Internet !!! Un de mes anciens clients qui a fait ce choix, conseillé par un de ces experts de tout et du grand rien, l’aura appris à ses dépens. Je ne désespère pas qu’il revienne un jour au bercail.
(1) L’un de mes clients me disait jeudi dernier : « le fax est mort !«