La lenteur soudaine de Firefox
A la suite de la dernière mise à jour de Firefox passant à la version 62.0.3 le 2 octobre, ma femme, mon fils et moi-même avons ressenti, sans nous concerter, une lenteur inhabituelle du navigateur de la fondation Mozilla. Je n’en connais absolument pas les raisons. Mais je vous avoue que cela a une fâcheuse tendance à nous exaspérer profondément. La grogne – voire le ras-le-bol – monte à la maison !
Cette sensation m’a été confirmée par Joffrey, un de mes stagiaires lors de la formation à la sécurité informatique ou cybersécurité que je donne en ce moment à Rouen, les autres étant dans leur immense majorité sur Google Chrome. Ces jeunes ingénieurs n’ont strictement rien à faire de la protection de leurs données personnelles ! Ils n’auraient rien à cacher.
Mes 6 mois sur Chromium m’ont un peu refroidi vis à vis de ce navigateur Open Source, le jour où je me suis rendu compte qu’il effectuait ses requêtes DNS sur les serveurs publics de Google, à l’insu de mon plein gré. Depuis, dans mon pare-feu, j’ai bloqué les DNS de Google de façon à ce que ce genre de mésaventure ne se reproduise plus.
Je vous avoue mon grand désarroi, ne sachant pas si je vais basculer sur Vivaldi, à base de Chromium et, cette fois, quitter définitivement Firefox Quantum. Je ne le trouve pas d’une grande stabilité, tout comme son homologue Chromium dès lors qu’on s’amuse à quelques réglages au niveau de la console chrome://flags.