La popularité des bases de données, selon DB-Engines
Aussi contestable soit-elle, la méthode de calcul de popularité basée sur les requêtes effectuées dans les moteurs et dans les sites spécialisés ne montre que très peu de changement au niveau de l’utilisation supposée des moteurs de bases de données.
Entre juin 2014 et juin 2015, la « part de marché » des Systèmes de Gestion de Bases de Données Relationnels (RDBMS en anglais) serait passé de 86.8% à 83.0%, alors les bases NoSQL passaient sur la période de 9.3% à 11.6%. Dédié à des développeurs qui ne comprennent pas grand chose au SQL, le NoSQL semble plus faire l’objet de l’attention des curieux que d’être réellement utilisé au sein des entreprises. Pour ma part, je n’ai encore vu aucune entreprise disposant de bases de ce type.
La pétole pour Oracle
Du fait de la stagnation, voire de la chute de ces ventes, Oracle a décidé de faire payer encore plus cher le support et les mises à jour de ses produits. Le leader mondial du marché de la base de données ne contribue qu’à accélérer un mouvement de déclin qui semble aujourd’hui assez irréversible, face à la montée croisée de SQL Server et des alternatives Open Source comme MySQL / MariaDB ou PostgreSQL.